Evan Seamus Warrington The End

Nom; Warrington
Prénom(s); Evan Seamus
Âge; 28 ans
Poste désirée (professeur de quoi?) : Profeseud de DCFM
Rang(pureté du sang): Sang Pur
Code:

Spoiler:

Avatar: Christian Bale

Predule

J'avais huits ans quand...

C'était une journée d'hiver plus froide que d'autre, personne n'osait mettre les pieds dehors tellement que le froid paralysait. L'explication de cette température si basse, aucun sorcier ne le savait du moins, ceux qui n'étaient pas au courant de ce qui allait se passer. C'était pour eux, juste une petite ne baisse rien de plus, un jour normal où ils avaient décidé de rester bien au chaud chez eux dans leurs maisons. Seuls les courageux sortaient recroqueviller sur eux-même, croisant leur bras pour mettre les mains au chaud, où il avait ceux qui les mettaient dans leur poche, avançant tête base vers un bute bien précis. Un journal normal pour tous sorciers qui n'était pas au courant, ils ne savaient pas ce qui allait leur arriver dans quelques minutes. Seule une poignée de sorciers étaient au courant que ce jour allaient être dramatique et j'en fessais partis. Oui, ce jour-là changea ma vie tout au tout même si je n'étais qu'un simple enfant âgé de huit années, je savais tous voilà, pourquoi ce jour-là je ne m'étais pas amusé. Je regardais mes parents qui m'avaient mit au courant, m'expliquant l'histoire extraordinaire qui me laisse il imaginer que c'était un nouveau compte pour sorcier. Je regardais mes parents avec ce regard remplis d'étoiles, je ne comprenais qu'à moitié ce qu'ils me racontaient, qu'à moitié dans tous leurs discours.
Parlant de meurtres, de sorcier tué, d'extermination. Ce mot était si bien gravé dans mon esprit: Extermination, je ne savais pas sa signification mais, je savais qu'il ne préservait rien de bon, ça définition devait être terrifiante. C'est là que j'avais compris, mon regard change et s'humidifia de terreur. J'ai réalises que mes parents étaient des monstre, oh oui des monstre, je savais qu'il méprisait tout sorcier qui n'était pas de sang-pur et encore plus les moldus. Mais, je ne savais pas à tel point, qu'ils étaient capables de les tuer.
Agé de huit ans j'étais déjà dans ce cercle, mes parents l'y avaient amené peu à peu, voilà pourquoi une telle éducation, sévérité à ce que je saches utiliser déjà un minium ma baguette magique, cette perspicacité que je devais avoir et enfin la maturité de mon esprit. Dans mon cerveau d'enfant j'ai compris après de longues minutes de réflexion, interprétant avec mes mots, mes images, je ne voyais que des monstres en face de moi mais, c'était trop tard je ne pouvais rien faire. Ou plutôt trop tôt, trop jeune pour faire quoique ce soit, je ne pouvais agire.
Ce qui fessait donc de moi un téléspectateur au courant de la fin de la scène. Je ne pouvais que regarder ses sorciers heureux dans les rues puis, vint ce jour-là. Où je ne jouais pas, où je n'étais pas en train de travailler. Je ne faisais rien j'étais au milieu de ma chambre en larme. Encore vêtu d'une chemise de nuit, je pleurais, pleurais sachant qu'à 18h30 l'histoire allait de nouveau e répéter. Après cent ans d'absence le mat était de retour, non ce n'était pas le même tirant qui se cachait derrière le masque, je savais qu'il était différent, une autre personne peut-être encore plus redoutable que celui dont il ne fallait pas prononcer le nom. Tout était différent la méthode d'attaque et surtout...surtout, la marque à l'effigie ce nouvel ordre, ce tatouage que mes parents portaient et moi, pendant tous ce temps je croyais que c'était signe d'amour. Non, loin de là c'était bien le signe du mal, un Ouroboros voilà ce qu'était le nouveau signe du mal. Je n'étais qu'un gamin je n'aurais jamais us me douter que parents faisaient partie de cet ordre caché .
Alors, je pleurais tout en pleurant je sortais de ma chambre regardant le ciel désormais foncé et les vitres givrés, mettant ma main sur une, il y avait eu mes empreintes, ça y est, ils étaient là. Les Détraqueurs étaient arrivés, parcourant les rues, le coup allait bien tôt arriver. Regardant l'horloge voyant que l'aiguille de minute s'approche du « 6 » ma respiration accélérait et, le son qu'échappait l'horloge quand il était la demi-heure, un...deux...Trois... Je lève mes yeux, le ciel s'assombrit, je sais que personne ne va passer chez moi mais, autre partcela seras le cas. Le givre des fenêtres se dissipa, ils étaient partis de mon environnement mais, je savais que les autres sorciers allaient souffrir. Je n'espérais qu'une chose qu'ils ne réussissent pas leur coup.

La pluie tombait désormais, il pleuvait des cordes. Je ne voyais que le paysage en flou, essayant de regardé à travers la pluie qui tombait, qui ruisselait sur les carreaux. J'avais cette envie et de courir loin de là. Enfilant mes chaussures et un blouson, je défouraillais la prote d'un coup de baguette magique et je détalais comme un lapin sous cette pluie qui me fouettait sir fort le visage, le terrain si gadoue que mes pieds s'enfonçaient, je devais lever les pieds pour ne pas m'enfoncer. Je courais avec ma chemise de nuit, ma paire de chaussure et mon vieux blouson celui que je préférais et ma baguette magique à la main. Je courais les yeux fermé la pluie me faisait trop mal pour que je les ouvre. Je courais tout droit vers la forêt, je sentais et dans mes temps mon odeur battre, je savais que je ne devais pas m'arrêter, car, je n'arriverais pas à repartir . Je courais a travers toute ses branches, ses racines que j’embêtais par instinct, des branches me fouettait le visage, laissa égratignure ses mes joues pommelés, puis j’avais percuté quelque chose de puissant m’arrêtant nette, au niveau de l’estomac cette force commença puis ce fut tout le long de mon corps. Pas assez dur pour que cela soit une branche, c’était un bras humain qui m’avait stoppé.

« Ou tu vas petit ange? »

Et ce fut le néant....

Quand j'avais ouvert les yeux, mon corps était engourdis, mais enfouie sous une couette chaude, une chaleur me réchauffait, une odeur de bois brûler, celle que je qui plaisait temps. Rouvrant mes yeux, j'avais une vie magnifique sur le plafond de mon salon. Me redressant toujours avec mon corps engourdi, je m'étais mis sur mes deux jambes bien frêles. Et là je vis trois personnes, une avait le visage caché et les deux autres je ne les connaissais pas, tout trois s'approchant de moi, le plus grand des trois s'était accroupie devant moi. Il avait un visage de si gentil garçon, et il était si jeune il ne devait pas avoir plus de vingts ans, je pense que ce fut l'erreur d'un de l'avoir appelé par ce nom que je me souviendrais tout le temps « Hé Rackharrow joue pas le gentil, c'est qu'un gamins. » et il avait répondu justement. Me regardant si gentiment, il pointa sa baguette sur mon avant bras gauche.

« Cela vas te faire mal serre fort tes poings et les yeux»

Fermant mes yeux, et contractant tous mes muscle j'avais tout de suite une autre présence une fois les yeux fermé, un coup devant glacial comme si ce n'était plus le sorcier au visage d'inconscient. Non, je devinais que c'était quelqu'un d'autre, ce n'était que du bluff. Et là j'avais entendu un murmure et la brulure atroce s'élance dans tout mon bras gauche. Mais, cette dernière se dissipa quelques secondes après, les larmes coulèrent de mes yeux que j'avais rouvert, et c'était de nouveau lui devant moi regardant mon bras, j'avais l'Ouroboros, j'étais comme eux.

« Bienvenue parmi nous, tes parents t'expliqueront tout Evan... »

Et ces paroles fut les dernières qui entant mon esprit, pris d'un évanouissement soudain et d'un troubles mais, je me souviens de ces mots « prendre un gamin franchement, où va-t-on? »
Je me réveillais le lendemain apprenant la mort de mon paternelle. Ils n'avaient pas réussis leur « coup » j'en étais heureux;

J'en ai assez

Un vent frais souffle dans le monde des sorciers déjà bien assombris depuis ce qu'il s'était passé il y a dix ans de cela, oui ce tragique jour que les sorcier on appelle « The Return» Le retour... Où les Forces du Mal sont réapparues après cinq longues années d'absence, du jour au lendemain. Ils avaient attaqué mais, ce fut un échec certes, il y avait eu de nombreux mort et parmi mon père mais, ce dernier n'était pas un innocent il fessait partie de ce que tous les sorciers appelle La Die Toten entre autre les Forces du Mal. Ma mère, en fait partie ou du moins en faisait, depuis avoir perdu la vue, elle ne fait plus rien. Restant a tricoter à l'aide de ce la magie des pulls trop petit ou trop longes, des chaussettes...
Enfin, moi les fils de ces deux parents faisant partis de La Die Toten, par contrainte j'en fais parti depuis l'âge de mes huit ans, et j'y participe c'est bien une certitude.
Depuis mes huit ans, j'accomplie des missions de plus en plus importantes et contre La Die Leben, les Forces du Bien. Pourtant, j'en ai assez de ce supplice, mes années à Poudlard sont terminées derrière moi ce fut la fin, du fonctionnement normal de Poudlard, car le directeur à décider autrement le fonctionnement de cette école. Le monde des sorciers change et je le sais depuis si jeune. Je suis bien plus grand désormais, de haut de mes dix-huit ans faisant un ou deux ans de plus.
Je suis un sorcier très intelligent et puissant en ce que disent mon entourage mais, je suis si rongé de l'intérieur. Je travail mes pour l'organisation que je déteste le plus, j'ai tellement envie de change de camp mais, cela est impossible. Je suis coincé complètement coincé.
J'en ai assez de rester soumis de la sorte, même si je ne suis pas puissant pas assez contre lui, je dois attendre encore un peu avait de me révolter même, si je me sens incapable de le faire.
Assis dans ce fauteuil qui me répugne, je suis maintenant trop vieux pour vivre encore chez ma mère alors, je l'ai quitté bien plutôt qu'elle ne l'aurait pensé, me passant tous les meubles qui me répugnaient. Je vis dans une maison que je déteste, j'obéis aux ordres de la personne que je déteste le plus, j'ai une vie que je te déteste. Je déteste tout, oui on peut dire que je suis tourmenté tiraillé de l'intérieur, trop impulsif, violent, nerveux mais, personne ne sait ce que j'endure car, bien au contraire je suis quelqu'un qui maintient sa colère, sa répugnance, ses pensées. Je suis quelqu'un de calme... Mais, je l'ai été trop longtemps calme, patient, sérieux. Il me faut cette liberté, cette joie de vivre que j'ai perdue il y a dix ans. Tellement que j suis énerve sur place dans mon fauteuil je me ronge les oncles presque a sang. Mais, voilà un bruit sourd ma ramène à la réalité, quelqu'un toc à la porte, qui ça peut-être me levant péniblement de mon fauteuil j'ouvre la porte et ils rentrent sans que je veux;
« Evan Seamus Warrington. »
« Oui? »
Sortant un parchemin de leurs poches, je les regarde bizarrement, je me demande ce qu’ils veulent, ayant ma main dans ma poche sur ma baguette magique. Ils me regardant droit dans les yeux.[/size]
« Signé ce contact et votre vie changera. »

Ma vie changera, mais qu'Est-ce qu'ils racontent encore? Une blague ce n'est pas marrant, c'est en voyant mon silence. Qu'ils enlèvent leur masque et leur capuche. Une jeune femme se cachait sous le voile et un homme du même âge aussi. M'expliquant de tout au tout, je les regardais étonner. Ils me disaient que j'allais introduire la Die Leben que j'allais travailler pour eux mais, je devais rester dans La Die Toten. J'ai compris, je suis un infiltré, levant mes yeux, sans hésitation je signe le contact.
Trois ans plus tard j'ai appris leur mort, triste sort et sept autres années j'étais devenu professeur à Poudlard, un plan d'infiltration de la Die Toten, j'ai tout de suite prévenu la Die Toten. Personne ne sait que je suis, même pas moi. Ma vraie identité c'est le chef de la Die Leben lui sait tout de moi. La Die Toten n'a aucune hésitation sur moi, je travaille depuis bien trop longtemps pour eux. Agé de 27 ans je suis parti à Poudlard, et quand je l'ai vu lui ce Serpentard, il avait la même expression que son père, la même.... J'ai eu un sentiment de tristesse... Et il ma regardé bizarrement, je crois qu'il ne m'aime pas, ce Serpentard...

Bienvenue;

Ta fiche de présentation est très bien, malgrès quelques petites fautes d'orthographe.
Aussi, juste un petit truc, à l'avenir dans tes posts, il faudra que tu les fasses à la troisième personne du singulier.

Sinon ta fiche est validée

Bienvenue à toi cher membre! =)
Et bien pour ma part je te pardonne pour les fautes d'orthographes vu l'heure où tu as finis ta fiche;
Et bien je suis donc d'accord avec mon cher collègue. Tu es Validée!
Bon jeune amuse toi- bien. Wink